Lausanne Marathon

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  • Bon on commence le fil "marathon avec du négatif et je vous laisserai finir avec du positif

    Tous les indicateurs étaient au vert pour me faire oublier mon marathon de 2006

    – entrainement OK (57 km de moyenne par semaine répartie sur 4 séances avec un mélange de footing,  séries de 5×3000 ou 3×5000 allure mara 4'50 , footing + sorties longues entre 1h30 et 2h30) pour un objectif < 3h30

    – morat fri OK

    – pas de blessure

    – dernière semaine tranquille avec vacances à l'appuis

    – pas de raclette

    – bonne nuit avant la course

    – démarrage de course sans problème avec le frein à main tiré

    – Ravitaillement tous les 5 kil avec gels et boissons qui passent bien

    – semi (1h41) passé avec 1 poils d'avance (30sec)

    – une ampoules sous le pied droit pour rappeler qu'il faut toujours avoir un petit peu mal sur le mara

    – 24ième, ça roule toujours avec une petite baisse de régime

    – 30ième, la baisse est confirmée.

    http://connect.garmin.com/activity/55312033

    – 33ième, on ne le voit pas mais il est bien là: le mur! Et je me le prends en pleine poire….Apparemment les dernières gouttes de gylcogène musculaire se sont évaporées…. A ce moment de la course ce n'est plus une question de volonté, c'est juste un mal de canne ou même la marche est atroce. Je sais que là l'entrainement est diplapidé et les obectifs foutus. Le but sera juste de finir.

    – ensuite c'est l'agonie avec des tentatives de redémarrage suivi de douleurs encore plus aigues, d'une crampe totale de la jambe gauche (un bénévole voulait me faire rentrer en mini bus….Heureusement le bus n'était pas dans les parages)

    – Au milieu de l'agonie il y a Anton qui m'encourage. un brin de discussion avec un pro du marathon ça fait toujours diversion.

    – En revenant de Lutry il y a Philip (encore un autre pro) a vélo qui veut me refaire courir… et il y arrive: il reste environ 1km pour finir de se cramer… , il y a aussi Gilbert (là un super pro..) qui joue le lièvre au ralenti. La dernière ligne droite est là et c'est la fin…4h13

    La fin en queue de poisson pour cette préparation. Je peux oublier le marathon et essayer d'aller d'aller plus vite sur les 10km. Au moins si je me plante, ce ne sera pas de 40 minutes et je ne le sentirai pas en descendant les escaliers le lendemain la course.

    Bon maintenant il y a sûrement du moins négatif ou même du positif à raconter pour les autres marathoniens, semi et 10kil….

  • Le fameux mur des 30 – 35 kilomètres.

    Pour certains, c'est le coup de massue, pour d'autres c'est juste une baisse temporaire de régime. J'ai la chance de faire partie de la deuxième catégorie, je n'ai jamais vraiment l'impression d'être à bout de forces mais l'allure se réduit fortement.

    Le mur signifie qu'on a puisé toutes les réserves de glycogène et qu'on commence à utiliser les graisses comme source d'énergie. On estime qu'on stocke assez de sucre pour 30 à 35km à allure marathon. Par contre au niveau graisses il y a assez pour un bout de temps (je n'ai plus les chiffres en tête mais ça se compte en centaines de kilomètres).

    Il existe pas mal de conseils pour mieux passer le mur au niveau physiologique. Je ne vais pas répéter ce qu'on trouve abondament dans la littérature et sur internet. Il est en tout cas impératif de bien charger sucres lents les trois jours avant la course. Après il y a des méthodes pour repousser la limite plus loin.

    Une chose est certaine, le "mur" se gère avant tout dans la tête. Personellement, je prends le départ en sachant que je vais me ramasser un coup de batte de base ball par derrière. Quand ça m'arrive, je ne suis pas trop surpris. Forcément l'allure baisse, mais il faut essayer de positiver malgré tout. Je me dis que c'est temporaire, qu'il faut serrer les dent pendant 3 ou 4 kilomètres, et que les forces vont revenir plus tard. C'est con, mais je me fait des images mentales, du genre "le mur est un vieil adversaire que je retrouve régulièrement, de toute façon je l'aurais à l'usure et à la fin je vais lui montrer qui est le plus fort". Des conseils à deux balles, mais chez moi ça marche, et je suis toujours surpris de la facilité retrouvée en fin de course.

    D'ailleurs tu trottais pas trop mal dans les derniers kilomètres, c'est bien la preuve qu ça finit par passer…

    Bonne récupération.

  • "gilbert" wrote:

    …..

    D'ailleurs tu trottais pas trop mal dans les derniers kilomètres, c'est bien la preuve qu ça finit par passer…

    Bonne récupération.

    C'était LE dernier kilomètre et après chaque "accél" ça a été comme si on m'arrachait un morceau supplémentaire de quadriceps pour aller jusqu'à l'os. D'ailleurs j'attends encore une greffe pour redescendre les escaliers avec un semblant d'aisance (je n'ai jamais eu ça après une course).

    Mais Gilbert a bien résumé: il y a bien deux catégories

    1. les forts en jambes, en mental, en mal bref les iron(wo)men
    2. les autres

    Maintenant j'ai plus de doute sur ma catégorie thumbs up.

    Encore merci à Gilbert, Philip et Anton pour leurs encouragements.

  • Joli récit. On voit que pour chacun c'est une aventure différente.

    Comme tu cites les pros et super pro, il ne faut pas oublier que les années s'accumulent et que dans ce genre de défi, on se sent vraiment mieux à 40 ans et plus qu'à 23 ans quand on est un type dans la moyenne. (Je passe les génies qui s'avalent un marathon en 2h45 à 25 ans).

    Peut-être faut-il également , si le temps le permet, varier ou combiner des entraînements pour repousser le mur sans se griller en foulées harassantes pour les articulations. Par exemple, par deux heures de VTT suivies de une heure et demi de course, tout doux, mais bien long pour habituer le corps à manger dans les graisses.

    Bonne récupération et montées en ascenceur.

  • Hello,

    personnellement ce fut une bonne cuvée (toute proportion gardée) puisque je fais 1/2 h de mieux que l'année passée.

    Les grosses différences :

    2009 : une préparation de touriste – 2010 : une préparation avec un plan et des sorties longues (> 30 km)

    2009 : une alimentation de toursite – 2010 : une alimentation gérée avec un gel tous les 5km depuis le kil 25, justement pour combler la baisse de glycogène

    2009 : la course seul – 2010 : la course à papoter avec un ami (big diffrence pour la tête)

    Résultat : un mur qui est bien là mais se résume à une baisse de performance

    En revanche, après 30 km, la monotonie rentre en jeu et j'ai du plusieurs fois me secouer mentalement pour me réveiller.

    Reste à dire que les conditions étaient idéales en terme de température si ce n'est une légère bise en revenant. entre Vevey et Cully.

    Bref, une course super avec de bonnes sensations et un temps sous les 4h, mission accomplie. Du haut de mes modestes ambitions bien entendu :-)

    Je rempile pour 2011.

    A+

  • Si j'ai oublié qqun, merci de compléter. C'est dommage qu'aucune équipe Rushteam n'aie pu être formée….

                                                                                                      Tour de P.

    34.   De Bellis François      1953 Chavannes-près-Renens     2:56.14,0   42-H4    3.       4.10 ¦ 1:27.21  61.¦1:28.52    21.¦

    674.  Haenni Henri            1962 Ecublens VD               3:55.02,3   42-H3    267.     5.34 ¦ 1:52.08 782.¦2:02.53   624.¦

    897.  Pittet Nicolas          1968 Vufflens-la-Ville         4:13.37,6   42-H3    353.     6.00 ¦ 1:41.00 367.¦2:32.37  1033.¦

    899.  Wenger Christian        1955 Bussigny-près-Lausanne    4:13.43,7   42-H4    142.     6.00 ¦ 1:58.37 957.¦2:15.05   854.¦

    1037. Delmonico Cédric        1977 Etagnières                4:32.55,7   42-H2    309.     6.28 ¦ 1:50.01 707.¦2:42.54  1102.¦

    semi

    65.  Badre Marie              1983 Echichens                 1:38.40,3   21-D1    16.      4.40 ¦

    80.  Curtet Saskia            1981 Lausanne                  1:41.11,7   21-D1    20.      4.47 ¦

    85.  Trolliet Céline          1985 Cheseaux-sur-Lausanne     1:41.39,5   21-D1    24.      4.49 ¦

    99.  Stettler Anne            1977 Ecublens VD               1:43.32,1   21-D2    38.      4.54 ¦

    584. Wenger Nathalie          1982 F-Metabief                2:01.28,0   21-D1    121.     5.45 ¦

    582. Stauber Joel             1972 Ecublens VD               1:36.29,3   21-H2    222.     4.34 ¦

    10km

    134  Jobin Stéphanie                                         48'42

    11.  Fridelance Valentin      1991 St-Barthélemy VD          32.31,7     10-JG    1.       3.15 ¦

    47.  Favre Villy              1964 Carrouge VD               35.21,6     10-H3    7.       3.32 ¦

    114. Ruchti Stephane          1971 Cossonay-Ville            37.54,9     10-H2    37.      3.47 ¦

    143. Hoffer Xavier            1976 Lausanne                  38.49,0     10-H2    47.      3.52 ¦

    129. Besse Daniel             1992 Ecublens VD               38.22,4     10-JG    13.      3.50 ¦

    221. Marmillod Vincent        1973 Daillens                  40.41,8     10-H2    76.      4.04 ¦

    226  Greg Vaucher                                            40.47

    296. Ruegg Matthieu           1991 St-Sulpice VD             42.07,9     10-JG    32.      4.12 ¦

    495. Lamard David             1970 Ecublens VD               44.39,4     10-H3    118.     4.27 ¦

  • Hééé trop drôle, c'est pas la bonne Nathalie Wenger! 

    A moins que tu aies couru en cachette et que ça n'était pas toi à Cully?  tongue

  • Et n'oublie pas:

    226 Greg Vaucher 40'47'' si on veut le motiver à payer sa coti wink

  • Greg est mis dans les arrivants et la "fausse" nathalie est biffée (est on sûr que ce n'est pas de la schizophrénie géographique?)!

  • 134 Jobin Stéphanie 48'42

  • hé oh..on arrête ces commentaires sur mon homonyme..!
    en effet jsavais même pas que j’en avais une en france voisine…déjà que y’a la championne européenne de course d’orientation sur Genève…j’ai plein de collègues qui ont cru que j’avais couru…en 2h au vu de ma megacrève!!
    Eh non…la megacrève m’a juste permis de vous encourager!!oui oui Anne c’était bien moi à Cully!

    Mais ca peut toujours être utile d’avoir des homonymes….

    A+
    Nath

  • Alors Nicolas !
    Ne nous dis pas que tu fais partie de la deuxième catégorie, sans force dans les jambes, ni mentalement, ni…… ! Si les non-sportifs arrivent à finir un marathon, sans trop douleur et crampes, tu peux aussi bien y arriver qu’eux. Ton objectif était-il peut-être un peu trop ambitieux pour ton deuxième marathon? Il est clair que c’est toujours plus difficile de courir près du seuil aèro/anérobique, en essayant de faire un bon temps, que de faire un marathon loin du seuil avec un temps modeste. (Pour ceux qui ne sont pas trop sportifs)
    Ton calvaire, je l’ai vécu deux fois. Lors de mon premier ½ marth (oui un ½ marth !) où j’ai vécu l’enfer. Je me disais aussi : « Je ne suis pas fait pour courir plus que 15km » Pendant 5 ans, je n’ai couru aucune course plus longue que p.ex. Morat-Fribourg.
    La deuxième fois, c’était au marth de Barcelone. Après avoir fait 10 Marth , je pensais avoir assez d’expérience. Eh bien mon vieux ! Je me suis trompé, et comment ! Au 28ème km, le mur était là avec toute sa brutalité. Pendant deux jours, je n’ai pu ni manger ni marcher. Depuis, je peux faire la différence entre passer un peu le mur et en payer les frais, et depuis j’ai pitié pour chacun qui se trouve dans cet état, même s’il l’a provoqué lui-même. Et finalement j’en suis quand même arrivé à courrir mon 30ème marathon dimanche passé!
    Alors qu’y avait-il à faire ? J’ai analysé la course. Je me suis lancé dans la littérature. Malheureusement j’ai dû constater que tous ces conseils, ces plans d’entraînement, ces bouquins comme « Marathon Training » etc ne me servaient pas à grand chose, car mon entraînement allait déjà plus au moins dans cette direction. Jusqu’au jour où je suis tombé sur un petit livre de 94 pages, dans lequel le Métabolisme pour un sportif, c’est-à-dire la préparation du « carburant et son mécanisme pour livrer l’énergie pendant la course », était bien expliqué. Et là j’ai compris : pour courir un Marathon au seuil, l’entraînement du métabolisme est plus important que d’avaler des km. (Bien sûr les km il faut aussi les faire, mais à une intensité qui est adaptée à son propre corps) Et… mes temps se sont mis à baisser continuellement jusqu’a 3h11’. J’ai couru la majorité de mes marathons entre 3h12’ et 3h20’ et ça, passés 50 ans. Jusqu’a ce jour je n’ai plus jamais eu rendez-vous avec le fameux mur. Je connais mon métabolisme parfaitement et je sais ce que mon corps est prêt à produire pendant 42km. Aujourd’hui je suis en mesure de dire déjà après 5 à 6 km si mon Marathon va se dérouler bien ou pas bien. Je peux dire quel rythme je dois prendre pour ne pas rencontrer le mur mais quand même courir au seuil. Je sens comment les Enzymes de graisse enclenchent les Mitochondriums (les moteurs qui fabriquent l’énergie en brûlant la graisse). Et je sais qu’à partir de ce moment: « Le carburant livré pour mon énergie est la graisse avec une partie de Glucose ». (Il n’y a pas de transformation de la graisse en énergie sans Glycose et sans Oxygène) Et à partir de ce moment je peux économiser le Glucose, dont je vais sûrement avoir besoin dans la dernière partie de la course (peut-être à partir du 30ème km où les performances commencent à baisser).

    Juste pour illustrer la chose : je viens de courir le Marathon de New York. En observent mon métabolisme, j’ai passé les 42km sans faiblesses et sans douleur. Même après la course j’ai encore marché 5 km pour retourner à l’Hôtel. Lundi, pas de tension, pas de crampes, pas de douleur.
    Bon, comme je me rapproche de l’âge de l’AVS, et avec un cardiaque de160max et un seuil de 155, je me fixe aussi un objectif adapté. Je suis donc content de mes 3h40’29’’!

    Un peu longue, ma description! Mais si ça peut te remonter le moral et t’aider à peut-être un peu déplacer quelques points principaux dans ton entraînement, alors le but est atteint.

    Amicalement
    Anton

  • Bravo Anton pour New York.

    Et merci d’essayer de me remonter le moral…. Il est redevenu au top! J’ai fais une sortie test dimanche, et je suis 2’30 plus rapide sur un équivalent 10km que ces 10 dernières années… Comme quoi l’entrainement a du bon!

    C’est quasi sur que je referai un marathon (maintenant je sais que le suivant peut être pire que le précédant), mais ce ne sera que le 3ième donc toujours en temps que Padawan. Il me reste du chemin pour dompter mes mitochondries et faire un minuscule petit vers le statut de Jedi!

    Que la force soit avec les ruchtistes!

  • 30 marathons ! 3h11 ! 3h20 ! 3h40 à NY proche de l’âge de l’AVS !
    Anton : respect, man, respect !!! et je le pense sincèrement.

    Je ne pense pas que j’arriverai à côtoyer ces temps ni même à les apercevoir de loin dans ce qu’il me reste de vie…

    Mais alors, quel est ton secret du métabolisme du sucre et des graisses ou alors, quel est le nom de ton bouquin ? Parce que moi, j’ai péniblement couru qu’à grand renfort de gels, dont j’ai certes fait varier les goûts (tropical, fruits de bois, vanille (buaark !)) mais dont mon estomac se passerait bien.

    A+
    H.

  • Anton tu forces le respect de tout un chacun et je suis admiratif de ta condition physique, j’espère que chacun d’entre nous pourras en faire autant lorsque nous aurons atteint l’âge de raison !!

    Je serais également très curieux de connaître le titre de ta “bible” de 94 pages de mitochondries et cycle de Krebs

    A bientôt

    Joël

  • Salut les collègues du Rushteam

    Merci pour les fleurs, mais gardons les pieds sur terre. Il y a des épreuves bien plus longues et plus dures ; l’IRONMAN par exemple. Et comme Guillaume Tell disait : L’âge idéal pour faire des Marathons n’est pas 25 ans, mais plutôt à partir de 35-40 ans jusqu’à…… ! Le cardio baisse, on est moins rapide, mais on gagne en endurance avec un entraînement adapté.

    Oui le marathon de New York est vraiment un évènement extraordinaire. Je n’ai jamais été très chaud pour New York, car il faut passer par un tour opérateur et ça coûte cher. En plus, en Amérique tout est plus grand et le show est total. Mais comme je me suis qualifié l’année passée, mon inscription a été acceptée sans besoin de passer par un tiers. Chouette cadeau pour mon 30éme marathon! Et, vraiment, je n’ai pas été déçu. Une organisation parfaite, les gens très, très serviables, un parcours magnifique et une ambiance incroyable. Sur tous les 42km, excepté sur les ponts (mais là on pouvait profiter de la belle vue sur le Skyline de Manhattan) une foule qui crie, qui encourage, qui chante, qui danse, la musique, des spectacles, etc. Et à 09h40, l’heure du départ, ce n’est pas le coup pistolet qui résonne, mais plutôt l’hymne nationale qui s’enclenche et la masse de 45’000 commence à chanter. Un moment inoubliable !

    Pour revenir à mon secret de métabolisme, que Henri mentionne, c’est en effet quelque chose de simple et n’est en fait pas du tout un secret : il s’agit de « l’entrainement long en aérobique » Chacun/une de nous le fais. Mais est-ce que chacun/une le fait à la bonne intensité, correspondant à son propre cardio, et est-ce que chacun/une sait ce qui se passe sur le plan du métabolisme ? Eh bien les Ironman/women vont sûrement se moquer de mes interprétations, car c’est spécialement eux qui s’entrainent dans cette zone. Sur leurs longues sorties au printemps, à une intensité modérée, ils vont produire les enzymes nécessaires pour réussir leur Ironman.

    Assez de philosophie !

    Pour ceux et celles qui s’intéressent à ce petit bouquin :
    « Hören Sie auf Ihr Herz » existe aussi en français : «À l’écoute de votre ceur »
    Auteur : Eric van Duijn
    Sûrement trouvable chez Payot ou Internet plusieurs adresses s’affiche sur GOOGLE en tapant « Eric van Duijn »

    Alors bonne lecture bonne course!

    Amicalement
    Anton

  • Anton B. wrote:
    Et là j’ai compris : pour courir un Marathon au seuil, l’entraînement du métabolisme est plus important que d’avaler des km. (Bien sûr les km il faut aussi les faire, mais à une intensité qui est adaptée à son propre corps)

    Bien d’accord avec toi. Apprendre ne serait-ce qu’à digérer correctement est déjà un début vers un métabolisme qui fonctionne parfaitement. Je dirai également dans le même ordre idée “moins de kil et entraînement réfléchi” à adapter à chaque personne bien entendu:
    – manger/boire durant l’entrainement
    – s’entraîner à jeun pour forcer à puiser de suite dans les réserves
    – journée(s) à l’alimentation très réduite (entraînement en conséquence)

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